Dracula
Septine
Publié le 27/11/2013
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Hé non, je ne vous parlerai pas d'Hunger Games cette semaine. Tout simplement parce que je n'ai pas vu le premier film de la saga, que ça ne m'intéresse pas plus que ça, et puis je n'ai pas envie de faire comme tout le monde. Et toc!
Ne vous arrêtez pas à cette affiche ridicule il faut bien l’avouer (la seule en version française), et lisez plutôt la suite. Aujourd’hui sort le dernier long métrage du maître de l’horreur italien, Dario Argento. Si celui-ci nous avait habitué à de véritables chefs d’œuvres dans les années 70-80 (Suspiria, Inferno ou encore Phenomena pour n’en citer que quelques uns), ses récents films semblaient avoir perdu de leur substance si particulière. Il est donc étonnant de le voir rendre hommage à un mythe maintes fois adapté sur nos écrans, j’ai nommé Dracula.
Ouh le vilain!
Transylvanie, 1893, Jonathan Harker, jeune bibliothécaire, arrive dans le village de Passo Borgo afin de travailler pour le Comte Dracula, un noble du lieu. Confronté à la personnalité mystérieuse de son hôte, Jonathan ne tarde pas à découvrir la vraie nature du Comte et le danger qu’il représente, notamment pour sa femme, Mina. Alors que les morts violentes s’accumulent, seul Abraham Van Helsing, qui a déjà croisé la route de Dracula, semble à même de pouvoir l’empêcher de poursuivre son sinistre dessein...
Asia Argento
En voyant les premières images, on remarque immédiatement le côté vieillissant et volontairement nostalgique propre au réalisateur. Nous aurons donc de l’épouvante, du gore et du sexy comme au bon vieux temps. Que demander de plus ? Le Comte Dracula sera interprété par Thomas Kretschmann, et Abraham Van Helsing sera campé par Rutger Hauer. La belle Asia Argento incarnera Lucy, et Marta Gastini endossera le rôle de Mina Harker.
Oh My Gore!
Je ne peux m’empêcher de craindre le pire, et la bande-annonce n’arrange rien puisque cela me laisse un sentiment encore plus mitigé. En revanche, si j'ai l'occasion d'aller le voir en salles, j'irai sans hésiter car dans le pire des cas, je risque de bien rigoler. Alors, nanard ou pas ?